Un ingénieur Irlandais étudiant les ovnis depuis plus de 20 ans affirme que le phénomène des orbes métalliques constitue un "réseau de défense global"
Dans « Quantum Paranormal », Patrick Jackson présente une nouvelle hypothèse concernant les groupes de sphères volant en formation.
La NASA a tenu le 21 mai 2023 sa toute première audience publique à Washington pour discuter des observations d'OVNIs, ou "phénomènes aériens non identifiés" (PAN).
La réunion de quatre heures, qui a fait la une des journaux à travers le monde, a révélé des détails sur des OVNIs métalliques en forme d’orbes "repérés partout dans le monde".
Le Premier directeur du bureau de résolution des anomalies au Pentagone (Aaro), Sean Kirkpatrick, a admis lors de l'audience de la NASA que ces orbes avaient été observées effectuant "des manœuvres très intéressantes".
Dans un livre publié le 02 octobre 2020 et intitulé Quantum Paranormal, Patrick Jackson affirme qu’il pourrait détenir la clé du mystère et qu’il bénéficie du soutien d’anciens pilotes de l’US Air Force et de spécialistes en informatique.
Il propose une analyse approfondie d'un réseau à trois niveaux d’orbes qui semblerait protéger la Terre des intrusions d’autres OVNIs.
Cet article explore son travail, ses affirmations et les implications de ce réseau.
Une explication alternative aux phénomènes “paranormaux”
Patrick Jackson, spécialiste des bases de données en informatique, a affiné ses compétences en essayant de comprendre les activités liées à des phénomènes paranormaux dans un lieu célèbre, le 30 East Drive, connu pour être hanté par "l’esprit frappeur le plus agressif du Royaume-Uni".
Selon lui, les phénomènes de type “esprit frappeur” se produisant dans une maison "hantée" comme celle du 30 East Drive seraient produits par une technologie exotique d’origine inconnue. Lors de son expérience sur place, Patrick Jackson affirme avoir ressenti des effets liés à l’exposition aux radiations, notamment un malaise général et un gonflement cérébral. Ces symptômes ont ensuite été confirmés comme étant compatibles avec une intoxication aux radiations. Selon lui, cet élément vient invalider l’hypothèse spirituelle ou métaphysique, car une exposition aux radiations ne serait pas possible dans ce contexte.
Il a notamment déclaré lors de ses interviews:
"J’ai observé des sphères argentées volant autour de la maison, des drones de la taille d’une balle de tennis, contrôlés de manière intelligente.
"Comme des billes rebondissant sur les murs, touchant parfois mon visage.
"Les schémas de comportement observés dans le bâtiment n’étaient pas humains, mais mécaniques.
"J'ai vu ces orbes partout – leur comportement en vol était inhabituel. Elles répétaient les mêmes motifs et processus.
"C’est encore fascinant à regarder. J’ai toutes ces vidéos – aujourd’hui, j’ai compris comment les déclencher et pourquoi le système fonctionne comme il le fait" (source: Sunday World )
Dans son livre Quantum Paranormal, Patrick Jackson décrit en détail le comportement de ces objets:
J’ai observé une masse noire verticale qui, bouge autour de la maison d’une façon mécanique, ses caractéristiques de mouvement sont uniques parce qu’elle n’accélère ni ne décélère elle se déplace selon un rythme défini - s'arrête net et change de direction-cela signifie qu’il se déplace sans friction ni résistance ni masse. Il a aussi été observé que cette masse noire pouvait passer à travers des objets solides comme les murs”(source: Quantum Paranormal,p.149).
Des phénomènes similaires ont pu être observés lors d’une étude au Karijini National Park, Pilbara,dans l’Ouest de l’Australie, par le Docteur Andrew Morgan; selon lui: “si le Phénomène peut apparaître n'importe où à n'importe quel moment, il doit donc traverser l'espace dans la partie non visible du spectre électromagnétique, car l'œil humain ne peut pas l'observer.”

Contexte et fonctionnement du Réseau OVNI sur Terre, selon Patrick Jackson
Un contexte historique
Dans son livre, Patrick Jackson présente un contexte historique montrant que certaines des premiers orbes documentés remontent à la Seconde Guerre mondiale. Tels que le rapportent les médias de l’époque, ces orbes,appelés “foo-fighters” étaient observées en train de suivre et d’intercepter les forces aériennes belligérantes, en encerclant les avions militaires, perturbant leurs instruments de navigation et de communication. Moins connu, cependant, est le fait que ces orbes semblaient également altérer les lois de la physique autour des avions concernés.
Ce qui se reproduit ici, c’est la capacité rapportée à passer à travers des objets solides.À l’occasion, les équipages ont vu ces objets passer à travers les ailes de l’avion sans causer de dommages, ni subir de dégâts suite aux tirs de balles des artilleurs. De plus, les sphères semblent avoir démontré une faculté à produire des effets électroniques sur les instruments de l’avion, provoquant des pannes de moteur ou altérant le contrôle de celui-ci.

Les faits rapportés pourraient démontrer une technologie militarisée dans ces domaines.
Ces mêmes objets seraient semble-il à l'œuvre dans les lieux réputés comme “hantés”.
Ceci pouvant expliquer les effets électroniques et gravitationnels étranges observés dans ces lieux actifs (radios en marche, pannes d’ordinateurs…)
Une alternative aux phénomènes paranormaux
Selon Patrick Jackson, les concepteurs inconnus de ce réseau OVNI semblent conscients que les transmissions de micro-ondes à haute intensité émises par ces orbes sont potentiellement nuisibles aux humains. Patrick Jackson suppose que le système est conçu pour inciter les humains à s’éloigner des orbes actifs afin de minimiser leur exposition à ces radiations. Il fait référence à la loi de l’inverse carré de la radiation, qui stipule que l’intensité de la radiation diminue proportionnellement au carré de la distance à la source. En doublant la distance par rapport à la source de radiation, l’intensité de celle-ci est réduite d’un facteur de quatre.
Pour encourager les humains à s’éloigner des orbes actifs, le système semble donc provoquer des phénomènes perçus comme paranormaux comme moyen de dissuasion. Ces manifestations incluent des bruits étranges, des objets déplacés ou projetés dans une maison. Ces activités, souvent perçues comme émanant d’esprits frappeurs, serviraient à éloigner les habitants de la maison, réduisant ainsi leur exposition aux radiations dangereuses.
Par analogie, un aimant transporté au Moyen-Age dont on aurait démontré les capacités à la foule aurait été comparé à de la magie noire.
Un cas historique illustre parfaitement ces phénomènes: celui du SkinWalker Ranch.
Différents phénomènes étranges: le cas du Skinwalker Ranch
Les incidents étranges subis par la famille Gorman, de 1994 à 1996
L’expérience de la famille Gorman a été retranscrite dans un ouvrage en forme de compte-rendu écrit en 2005 sous le titre “Chasse au Skinwalker” par un biologiste, le Dr Colm Kelleher (PhD), et un journaliste, George Knapp, connu pour ses enquêtes sur les ovnis.
Les évènements vécus par les Gorman ont été étudiés discrètement et presque secrètement pendant plusieurs années par une équipe de NIDS(“National Institute for Discovery Science”) sous la direction du Dr Kelleher. Cette organisation privée a été fondée en 1995 par un homme d’affaires de Las Vegas, Robert Bigelow, qui s’intéressait aux ovnis et aux phénomènes connexes. Elle est officiellement dissoute depuis 2004.
L’objet du livre est de discuter des explications possibles des évènements survenus sur le Ranch, incluant des théories “paranormales”, même ésotériques. Le Ranch et la région du bassin de l’Uintah dans l’Utah sont connus pour la fréquence d’apparitions de phénomènes PAN et plus largement de phénomènes surnaturels.
Vers la fin de l’année 1994, la famille Gorman,Tom, Ellen et leurs enfants (pseudonymes), achète le Ranch Skinwalker situé dans l’Utah, pour y élever du bétail, et s’y installe. À leur arrivée, celui-ci est inoccupé depuis plusieurs années. Fait surprenant, il comporte de lourdes serrures sur chacune des portes et fenêtres.
Au bout de quelques mois, la famille commence à apercevoir des boules lumineuses de diverses couleurs, blanches, jaunes et bleues, se déplaçant autour du bétail et de leur maison. Ils observent souvent des “orbes” de la taille d’une balle de baseball de couleur bleu brillant, “remplies d’un liquide tourbillonnant, chargé électriquement”(p.142), qui font baisser les lumières lorsqu’elles passent près de la maison. Ils observent également des nuages étranges remplis de “lumières qui explosent silencieusement”.
Les occupants font l’expérience de phénomènes liés à des esprits frappeurs dans la maison: des portes claquent, des objets disparaissent et se déplacent d’une pièce à l’autre. Certains incidents ressemblent à des mauvais tours (voix étranges et moqueuses, provisions déplacées…).
Autre incident notable: au cours de l’été 1996, Tom voit ses “trois chiens de garde favoris” partir à la poursuite d’une orbe bleue,”de la taille d’une balle de baseball”. Ils la poursuivent dans un bois proche,Gorman les entend hurler,puis n’entend plus rien.Effrayé, il attend le matin pour aller les voir, et les trouve complètement brûlés,incinérés. A ce point, la famille Gorman est si terrorisée qu’elle décide de vendre le Ranch. NIDS achète la propriété en août 1996 et décide d’y lancer une étude scientifique. La famille Gorman déménage à 40 km (25 miles) de là, mais Tom accepte de venir tous les jours s’occuper du ranch et du troupeau, afin d’aider l’équipe de NIDS.

Les évènements étranges observés en présence de l’équipe de NIDS
De la fin de 1996 à l’été 2004, l’équipe dirigée par le Dr. Kelleher a installé et exploité un laboratoire permanent, équipé de divers dispositifs, afin de collecter des données dans les domaines électromagnétique et magnétique, ainsi que sur les manifestations lumineuses de type OVNI dans le spectre visible et ultraviolet.
De nombreux phénomènes ont été observés et analysés, tels que des mutilations de bétail dans la région ou des apparitions de mystérieuses sphères lumineuses - ou "orbes" - bien que ceux-ci n’aient jamais pu être enregistrés de manière claire.
En effet, à chaque tentative de capture, le phénomène semblait esquiver les dispositifs, comme s’il jouait à un jeu de cache-cache. Selon les chercheurs, une sorte de "trickster" invisible semblait toujours avoir "une longueur d’avance", ne laissant derrière lui que des indices sporadiques : carcasses de veaux brutalement mutilées, traces étranges dans la neige, images intrigantes en infrarouge ou encore pannes inexpliquées d’équipements de surveillance. Cependant, aucune preuve matérielle suffisante pour être irréfutable n’a pu être collectée.
Bien que la répétition des phénomènes observés renforce leur crédibilité, les auteurs n’ont fourni aucune donnée scientifique précise, comme des photographies des "orbes". Ils indiquent que des enregistrements existent, mais ceux-ci n’ont jamais été rendus publics, ce qui rend l’enquête difficilement vérifiable et très confidentielle.
Selon l’équipe actuellement en charge de la surveillance de la propriété, ces dernières années, les habitants du ranch auraient régulièrement souffert de maladies, certaines nécessitant une hospitalisation. Ce phénomène rappelle les témoignages de Patrick Jackson après sa visite au 30 East Drive. Thomas Winterton, surintendant actuel du ranch, a été hospitalisé pour un gonflement cérébral causé par une accumulation de liquide entre le crâne et le cuir chevelu, survenu après avoir tenté de creuser sur le terrain.
Fonctionnement du réseau OVNI sur terre, selon Patrick Jackson
En se basant sur les cas historiques et des observations de terrain, Patrick Jackson identifie trois types d’orbes:
Les sphères de type trois : Elles mesurent approximativement entre 2,86 et 2,94 pouces de diamètre et opèrent au sol. Elles émettent à partir de l’intérieur des bâtiments pour protéger leur signature électronique, et serviraient de réseau de communication sous-jacent. Leur activation a lieu principalement lorsque les orbes de type 1 détectent une cible et les alertent. Une fois activés, les orbes de type 3 commencent à communiquer avec les orbes de type 1 via la sphère “relai” (type 2) , ce qui entraîne alors l’émission de radiations.
Les sphères de type deux : observées à environ 300 pieds du sol et visibles par la US Navy, elles servent de “point-relai” entre les sphères de type 3 et les sphères de type 1.
Les sphères de type un : elles mesurent environ 20 pouces de diamètre et apparaissent en formation triangulaire dans le ciel. Elles entourent la cible pour l’intercepter et la détruire (voir fig.8).
En 2023, une diapositive publiée par l’AARO sur les tendances de signalement des PAN (Phénomènes Aériens Non Identifiés) de 1996 à 2023, a fourni des détails précis sur ces objets.
Leur apparence est décrite comme étant ronde, avec une taille variant entre un et quatre mètres. Les couleurs habituelles des objets observées sont les suivantes : blanc, argenté ou translucide.
Les performances de ces PAN incluent une altitude comprise entre 10 000 et 30 000 pieds et une vitesse allant de « stationnaire à Mach 2 ».
Aucune trace thermique d'échappement n'a jamais été détectée. Les orbes possèdent des signatures radio, des signatures radar et sont visibles à travers l'infrarouge. Patrick Jackson prétend disposer de détails spécifiques et de preuves concernant ces orbes (voir p.14).

Selon Patrick Jackson, le schéma d'action proposé illustre le flux de communication et les rôles spécifiques attribués à chaque type d'orbe dans le mécanisme d'interception. Les observations visuelles de formations d'orbes de type 1 corroborent ce modèle, mettant en évidence des regroupements distincts dans le ciel qui correspondent aux configurations décrites.


Selon Patrick Jackson, ce système complexe résulte d'une conception mûrement réfléchie, reflétant une expertise avancée à la fois en géographie terrestre et en stratégies défensives. La répartition des réseaux, ajustée en fonction de la densité de population, semble démontrer une priorisation du bien-être humain, tout en révélant d'éventuelles vulnérabilités dans les zones à faible densité de population.
Selon ce schéma d’action, chaque emplacement fonctionne à une distance similaire l’un de l’autre, formant un “ nœud dur”. Ce qui signifie que chaque sphère serait autonome en utilisant une même programmation basée sur l’intelligence artificielle, chacune étant dotée des mêmes comportements et déclencheurs, ce qui expliquerait les caractères similaires des effets paranormaux partout où ils ont lieu. Ce réseau serait donc “actif” et en clair, transmettrait des signaux à travers tout le pays.
L’ensemble de ces caractéristiques traduirait selon Patrick Jackson un système global, sur le modèle de l’intelligence en essaim.

Le mode de regroupement des sphères en un réseau d’interception procéderait donc d’une intelligence artificielle basée sur des règles, qui semble se référer à une base de données à laquelle les observations de terrain sont comparées. Si les caractéristiques de vol des sphères correspondent aux règles enregistrées, un ensemble d’actions pré-programmées se déclenche alors.
Dans ce contexte, Patrick Jackson a développé une application mobile intitulée Ghost Code.
L’application aurait été conçue par l’auteur à partir d’un code trouvé dans un crop-circle au Royaume-Uni.
Selon Patrick Jackson, l’application serait capable de déclencher une 'activité de type hantise produite par les sphères, grâce à l’utilisation du code audio personnalisé permettant d’entrer en contact avec elles, ce qui entraînerait une communication sous forme d’interaction prolongée. C’est le type de communication généralement associé aux enquêteurs lors d’une chasse aux fantômes, et expliqué comme étant une forme de communication spirituelle (pseudoscience).
Patrick Jackson émet plusieurs hypothèses scientifiques quant aux moyens technologiques employés par ces PAN.
Rappelons le,selon Patrick Jackson, il s’agirait du même type d’objets observés volant autour des avions pendant la Seconde Guerre mondiale en 1945, qui opèrent maintenant dans les bâtiments. Parmi les hypothèses:
L’utilisation d’une “masse noire”: elle leur permettrait de se dissimuler dans des environnements de faible luminosité, en créant un camouflage adaptatif leur permettant de s’approcher sans être détecté. Cette capacité à traverser des surfaces solides serait illustrée par la notion de “tunnel quantique”.

Le recours aux EVP : les phénomènes de voix électroniques sont définis comme des enregistrements de voix ou de sons inexpliqués capturés sur des dispositifs électroniques, souvent interprétés comme des tentatives de communication de la part d'entités paranormales. Jackson propose que ces phénomènes pourraient être le résultat d'interférences électromagnétiques ou d'autres interactions technologiques complexes, plutôt que des manifestations surnaturelles.
Patrick Jackson postule que les EVP pourraient être des "résidus" d'une technologie de communication avancée, soit par :
Transmission radio ou micro-ondes : Une technologie inconnue pourrait utiliser des fréquences que nos appareils électroniques captent par inadvertance.
Superposition de données : Les dispositifs d'enregistrement modernes pourraient capter des fragments d'information ou de transmission en dehors des fréquences prévues, générant ces phénomènes auditifs.
Il postule également que certaines EVP pourraient être intentionnelles, un moyen de communication de systèmes technologiques avancés :
Programmation sonore : Un signal ou un code intégré dans un champ électromagnétique pourrait être converti en son par les dispositifs d'enregistrement.
Manipulation sonore : Une entité ou une technologie, en l’occurrence les orbes, pourrait utiliser des outils pour altérer des fréquences existantes, créant des messages audibles.
Des preuves matérielles à l’appui?
Selon Patrick Jackson,des preuves matérielles auraient été collectées sous la forme de plusieurs orbes, dont l'une serait actuellement étudiée à l’Université de Stanford aux États-Unis.
La sphère de Betz constitue l’anomalie la plus célèbre découverte dans les années 1970.
En 1974, la famille Betz, vivant à Fort George Island, en Floride (États-Unis), découvre une sphère métallique sur leur propriété après un incendie de forêt. Cette sphère, d’environ 20 cm de diamètre et pesant environ 10 kg, est en acier inoxydable et semble parfaitement lisse et sans joints apparents.
La famille pensait initialement qu'il s'agissait d'un objet militaire, d'une œuvre d'art ou même d'un artefact extraterrestre.
Selon la famille, la sphère émettait des vibrations, changeait de direction de manière autonome lorsqu'elle était roulée sur le sol et produisait des sons inhabituels.
Ces propriétés ont attiré l'attention des médias, des scientifiques et même de l’armée américaine.
Plusieurs analyses ont été effectuées pour comprendre la nature et l’origine de la sphère: il a été constaté qu'elle était composée d’acier inoxydable de haute qualité, un matériau courant dans l’industrie.
Des rayons X ont révélé qu'elle contenait un noyau interne dense, semblant être en mouvement lorsqu'on la faisait rouler.
Enfin, des analyses chimiques ont montré l’absence de trace de plutonium, bien que le numéro atomique attribué corresponde dans la table périodique des éléments au numéro 94.
Ceci pouvant s’expliquer par le fait que la plupart des instruments ne sont conçus que pour détecter des éléments allant jusqu’au plutonium, tout ce qui est supérieur étant spécialisé.
Par conséquent, son numéro atomique ne serait pas le n°94, mais supérieur.
Le scientifique James Albert Harder, membre du groupe de scientifiques associés au National Enquirer, est particulièrement intrigué par cette sphère. Il propose alors de l’analyser en profondeur à l’aide de divers équipements spécialisés. Le 24 août 1974, lors du congrès international d’ufologie de Chicago, Harder fait une annonce retentissante : il affirme que les petites boules contenues à l’intérieur de la sphère seraient composées d’atomes plus grands et plus denses que tout ce qui est connu sur Terre.
Selon Harder, les boules internes de la sphère auraient un numéro atomique de 140, un niveau inconnu dans la nature, suggérant des propriétés extraordinaires.
Pour mettre cela en perspective, l’élément le plus lourd que l’on trouve naturellement sur Terre est l’uranium, avec un numéro atomique de 92 (indiquant que son noyau contient 92 protons).
La plupart des éléments de niveau supérieur sont créés artificiellement, à l’instar du plutonium créé dans un réacteur lorsque les atomes d’uranium absorbent des neutrons. Le plus souvent alors, le produit résultant des expériences d’accélérateur partiel est peut-être un ou deux atomes qui durent quelques instants avant de se désintégrer.
Ces atomes uniques sont principalement utilisés pour l’étude scientifique et n’ont que peu ou pas d’utilisation dans le monde réel, ce qui signifie qu’il est difficile d’en faire un usage concret.
Ce qui signifierait que la science actuelle ne dispose pas du matériel nécessaire à la reproduction de ces sphères.
De nombreux scientifiques ont pourtant réfuté les affirmations sensationnelles, expliquant que les comportements observés pouvaient être dus à une combinaison de gravité, de friction et de propriétés de son noyau interne (effet gyroscopique).
Ce cas n’est pas officiellement résolu.
Patrick Jackson présente un second cas, celui d’une sphère détenue par un ami dans un ranch dans l’Etat du Texas. L’objet serait tombé il y a 40 ou 60 ans en arrière dans un champ, avant d’être récupéré puis revendu.
Les caractéristiques de l’objet semblent similaires à celui détenu par la famille Betz: dont sa faculté de roulement lorsqu’elle est posée sur le sol.
On a donc une théorie unifiée présentée comme une théorie scientifique et technique basée sur la réalité, qui tente d’expliquer tous les phénomènes de "fantômes". A l’étude, plusieurs conclusions peuvent se dégager:
Cette théorie offre une explication matérielle et scientifique séduisante à l’ensemble des phénomènes paranormaux. Il est à mettre au crédit de Patrick Jackson son approche méthodique, car il s’appuie sur des observations opérationnelles et vérifiables, analysant des indices pour établir des liens logiques, une perspective particulièrement adaptée à l’étude des phénomènes OVNI souvent aléatoires et difficiles à cadrer.
Néanmoins,elle exige absolument l'existence non seulement d'une technologie exotique, mais aussi de lois de la physique qui n'existent pas dans notre compréhension actuelle de la réalité.
On attend donc des preuves scientifiques indiscutables que viendrait valider cette théorie.